Le 1er séminaire de bioélectronique rénovée s’est déroulé les 24, 25, 26 et 27 octobre 2015 sur l’île de Noirmoutier, réunissant 18 participants, tous bioélectroniciens et venant des 4 coins de la France : alpes maritimes, Gard, bouches du rhone, Charentes maritimes, Vendée, Côtes d’Armor, Essone, Paris, Haut rhin et bas rhin, meurthe et moselle, Jura, Côtes d’Or, Sarthe, Gironde.
Etaient présents des agrobiologistes, agronomes, naturopathes, ostéopathes, ingénieurs, médecins, vétérinaires, maraichers, praticiens en médecine chinoise, praticiens en shiatsu, olfactothérapeute.
La diversité des corps de métiers représentés lors de ce séminaire s’est vite révélé comme un atout majeur pour faire avancer et évoluer la compréhension de la méthode bioélectronique.
La pratique bioélectronique vétérinaire apporte non seulement un champ d’investigation pratiquement inexploré à ce jour, mais apporte surtout une compréhension très pointue de notre outil.
Les conférences des uns et des autres témoignant de l’utilisation de la bioélectronique rénovée dans leur profession, et les mesures exploitées sur une année, nous a amenés à réflechir de façon encore plus pragmatique sur les mesures que nous effectuons en biologie humaine.
Grâce à ce 1er séminaire, et surtout grâce à la diversité professionnelle des participants, la bioélectronique rénovée conforte l’idée que la santé de tout ce qui vit sur cette planète passe par l’intéraction et la corrélation des différents milieux vivants.
Que si l’humain souhaite rester en bonne santé, il est d’une absolu nécessité de commencer par la santé de la terre qui nourrit les végétaux, puis par la santé des végétaux qui nourrit l’animal, puis par la santé de l’animal qui nourrit l’humain.
Toutes ces formes de vie sont liées les unes aux autres. Ne réfléchir qu’à la santé de l’une d’elle est voué à l’échec, tellement la vie de l’un est imbriquée dans celle de l’autre…
La bioélectronique est l’une des seules techniques qui considère tous ces règnes avec un seul et même outil, une seule et même logique, celle de l’échange dynamique des éléments fondamentaux : macro éléments, oligo- éléments etc.
La bioélectronique rénovée allie l’aspect chimique de la matière (par la mesure de la concentration des éléments) et son aspect énergétique (ce qui met en mouvement ces éléments). Et c’est bien la compréhension de cette dynamique entre la chimie et l’énergétique, qui permet de repérer les dysfonctionnements du milieu étudié.
Rendez-vous est pris dans un an pour notre second séminaire, avec encore plus de mesures, avec encore plus de bioélectroniciens !
L.Gallais